Lorsque je voyage, le reflex numérique me sert à capturer, plus ou moins à la va-vite, des instants, des choses futiles, des vitrines, des maisons.
Cette fin décembre à Reykjavík j'ai été émerveillée par leur façon de réchauffer l'atmosphère à tout moment, avec de simples bougies, lanternes, guirlandes lumineuses, comme l'apothéose même du cosy.
D'où ma frénésie à déclencher.
(Encore une fois, à peine des retouches de cadrage, luminosité et contraste, hein, faut pas déconner non plus)
(ça se voit que j'aime la soupe de citrouille ?)
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